|
|
| Auteur | Message |
---|
PSEUDO : dark.shadow + Loïse.
CRÉDIT : © Queen G. + tumblr.
MESSAGES : 20
ARRIVÉE : 01/07/2012
ÂGE : 24 ans.
SITUATION : célibataire.
EMPLOI : barman au Top pub.
JUKEBOX : alice's Theme- Danny Elfman.
| Sujet: FLYNN → Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. Dim 1 Juil - 12:51 | |
|
Blight Flynn Barbara Fletcher. Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.
| ID CARDREAL LIFEinformations ÂGE - 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE - 24 février à Sydney, Australie. EMPLOI, OCCUPATIONS - Anciens tueur à gages, débarquant dans cette petite ville après trois ans de prison. Il travail comme barman au Top pub. SIGNES PARTICULIERS - Il est bisexuelle, et ne l'assume pas vraiment, sinon il ne sait parler qu'américain et anglais. TRAITS DE CARACTÈRE - Débrouillard - Étonnant - Attachant - Direct - Fantaisiste - Inventif - Joueur - Indépendant - Intéressé - Intuitif - Tenace - Rêveur - Arrogant - Orgueilleux - Insouciant - Rancunier - Menteur - Malchanceux - Vaniteux - Égoïste - Instable - Impulsif - Blasé. GROUPE - Blindy. behind the screen PSEUDO/PRÉNOM -Dark.Shadow. ÂGE - Secret. COMMENT T'ES ARRIVÉ SUR JAW ? - Bazzart, of course. TU LE TROUVES COMMENT ? - Magnifique. DISPONIBILITÉ - 6/7. AVATAR - On m'a réserver Luke Grimes, mais j'aimerais bien le changer contre Nicholas hoult, si il n'est pas prit. *_* CRÉDITS DES IMAGES UTILISÉES - Tumblr & bazzart. TU CROISES POLOCHON, TU LUI DIS QUOI ? - validé par Jojo |
questionnaire • Avez-vous des rêves ou des espoirs pour le futur ? Le rêve d'être heureux, peut-être. Oui, c'est ton seul rêve, Flynn, et tu veux à tout prix qu'il se réalise. Tu as fait beaucoup de choses que tu regrettes, dans ta vie, dans ton passé, tu voudrais que ton futur soit meilleur, et malgré les obstacles, tu feras tout pour, parce que même le condamné à mort à le droit à un dernier repas, même le mourant de soif dans un désert à le droit à une goutte d'eau. Tu as le droit d'être heureux, Flynn, alors donnes toi pour, fais ce que tu as à faire. • Dans la vie, on a des hauts et des bas. Si vous deviez nous racontez le souvenir le plus heureux de votre vie, lequel serait-il ? Un souvenir te reviens toujours en mémoire, la fois où ton père était revenu à la maison avec un vélo. Un beau vélo bleu, à roulettes. Tu avais quel âge ? Quatre ans ? Cinq, peut-être ? C'était avant, quand les autres pouvaient encore t'envier ton existence. Quand tes parents avaient encore de l'argent, quand vous aviez encore une maison, une vraie famille, soudée, aimante. Oui, tu y repenses tout le temps. C'était la première fois que tu avais fait du vélo, d'ailleurs tu étais tombé. Mais qu'importe, tu riais quand même aux éclats, parce qu'il s'occupait de toi, parce qu'elle était là, sur le seuil de la maison, à vous regarder avec un grand sourire. Quand il t'avait rattrapé en courant, juste avant que tu ne retombes, et que tu avais crié, alors qu'il te faisait tournoyé dans les airs, elle avait levé les yeux au ciel et était retourné dans la cuisine. Tu n'avais jamais oublié ce moment, tu ne l'oublieras jamais. • Si vous aviez l'opportunité de remonter le temps, quel événement de votre vie changeriez vous ? Tu effacerais toute ton existence, de dix ans à vingt-trois, ces longues années que tu as passés dans la rue, un flingue à la main, ou alors en taule. Oui tu les effacerais et tu recommencerais tout. Ton adolescence, ton entrée à l'âge adulte. Parfois tu as l'impression qu'on te les a volés, mais ne le penses pas, parce qu'après tout, c'est toi même qui t'ai brûlé les ailes, qui t'as empêcher de mené l'existence que tu voulais avoir. Un peu. C'est aussi tes parents, mais on ne peux rien changer. Alors pourquoi revenir sur ce souvenir ? Avances et ne te retournes pas. C'est un bon dicton, un dicton pour resté en vie. Retiens le. • Vivant dans un petite ville côtière, aimez-vous vous allez nager ou profiter des plages de Cooktown ? Tu aimes beaucoup nager, n'est-ce pas Flynn ? Surtout le matin, à l'aube. Souvent tu te réveilles très tôt pour pouvoir apprécier le lever de soleil, dans l'eau fraiche. C'est une des rares choses que tu apprécies vraiment, dans ce monde. • Avez-vous déjà assisté à un phénomène étrange ou surnaturel ? Très franchement, tu es bien trop occupé par tes problèmes pour remarquer un quelconque événement surnaturel. Comme avant, il n'y a que toi qui compte, et seulement toi. justaddwater.com
Dernière édition par B. Flynn B. Fletcher le Dim 1 Juil - 15:07, édité 3 fois |
| | |
PSEUDO : dark.shadow + Loïse.
CRÉDIT : © Queen G. + tumblr.
MESSAGES : 20
ARRIVÉE : 01/07/2012
ÂGE : 24 ans.
SITUATION : célibataire.
EMPLOI : barman au Top pub.
JUKEBOX : alice's Theme- Danny Elfman.
| Sujet: Re: FLYNN → Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. Dim 1 Juil - 12:52 | |
|
- Qu’est ce que tu fous ?
- J'essaye d’être heureux.
Chapitre 1 ; Je pourrais être mort dans une seconde. Tout est si fragile.
L'odeur de la poudre est âcre, le canon du flingue est posé sur ta tempe, et toi, tu gardes les yeux fixés sur ton interlocuteur. Tes mains sont attachées dans ton dos, et un des sbires du dealer te tient. Ce dernier est celui qui a pointer l'arme vers toi, en même temps qu'on s'emparait de ton allié, un gosse des rues de Sydney, comme toi, mais qui n'avait pas beaucoup d'expérience, pour ne pas dire, du tout. Le mec te regarde de haut, tu aimerais lui cracher au visage, mais tu t'abstiens et lui décoche à la place un sourire ironique. Il parle, et se sent fort, avec son flingue et les six hommes autours de nous. L'illusion de la puissance. « Ouvres la bouche. » Il colle son arme contre tes dents, et tu tressaille. « Va te fai... » Tu n'as pas le temps de dire la fin de ta phrase, il a reprit le crachoir. Encore et toujours, il veut montrer que c'est lui le patron, lui qui mène le jeu. « Ouvres ta putain de bouche. » Il insiste sur chacun de ses mots, et tu te rend compte qu'il n'hésitera pas à insister sur chacune de ses balles, portées à ton visage. Tu obéis, à contre cœur. Celui là, tu le connaissais déjà bien avant. Vous vous connaissez tous, dans les rues de Sydney. Depuis gamins. Certains gagnent leurs vies en dealant, d'autre comme toi, se disent policier de la rue, ceux qui remettent à leur place les personnes qui ont fait trop d'erreurs, trop de fautes pour rester ici. Vous n'avez pas de patron, vous patrons, c'est vous. Les gens vous payent pour vos services, la disparition du concurrent d'en face, qui hier vous avait piquer un nouveau client potentiel. C'est ton métier, c'est comme ça que tu as réussi à te faire respecter. Par la haine et la force. Par le besoin, aussi, un peu. « écoutes moi bien, mon gars. Si tu me dis pas qui t'envoies, je décore le mur de ta cervelle. » Tu grommelles un mot ou deux, dans l'espoir qu'il enlève cette chose de ta bouche en pensant que tu essayes de lui répondre. Il gobe, et tu t'empresses de passer la langue sur tes lèvres sèches. Tu vas devoir improviser, comme toujours. « Qui te dis que je travaille pour quelqu'un ? » Il s'approche de toi, et charge son arme. « Parles. » Tu soupires, et relève la tête pour le regarder. « Tu crois peut-être que je suis venu pour mettre fin à ta petite existence... Hein ? Et bien saches, l'ami, que non. On m'a simplement envoyé en messager... Avec lui. » Tissus d’âneries, mais tu ne pourras t'en tirer qu'en ayant recourt à cela. Pour le gosse, tu le montre d'un simple geste du menton. Enfaîte tu t'en fous, de lui, il se débrouille. « Ah ouais ? Tu crois que je vais avaler ça ? » Tu souris narquoisement, et plisse les yeux. « De nous deux, je pense que ma parole vaut mieux que la tienne. Pas vrai ? Alors je crois que tu peux me croire. » Il soupire, et vous échangez quelques paroles, tu le sens peser le pour et le contre, mais à la fin, il te demande d'aller chercher celui qui souhaite lui parler. Tu ne le reverras jamais, et le gamin non plus. « Par contre, je garde le petit, tâches de garder parole, ou son existence risque d'être très écourté. » Tu t'en fiche, tu t'en ficheras d'ailleurs toujours. Quelqu'un te quitte... Un de plus, un de moins, quelle différence ? On te lâche, et pendant que tu te frottes les poignets, tu jettes un coup d’œil au gamin. Il a un œil au beurre de noir, on a dû le frapper pour le faire taire, quand on vous a tout les deux capturés. Tu n'avais rien remarquer. On t'a toujours collé cette étiquette qui te restera toute la vie, celle de l'imbu de sa personne, du narcissique qui ne pense qu'à lui. Soit. Ce n'est pas toi qui ai commencé, mais tu continue. Avec joie. « Mais dis-moi une chose Fletcher... Es-tu capable de vivre en sachant que tu as fait condamner un innocent, un ami de longue date à une mort certaine à ta place, pendant que tu jouis de la liberté ? » Il semble croire qu'avec ses dires, il effacera ton indifférence et te fera tenir parole. Tu hésites à lui rire au nez, mais tu ne le fais pas, et te contente de tourner les talons jusqu'à la sortie. Liberté. Arrivé à la porte, Tu te retournes une dernière fois et les regarde tous, lui, ses six acolytes et ce gamin. Huit. Il n'en restera plus que sept dans une heure, voir deux si il a de la chance. « Ouais, je pense que je survivrais. » Tu me barre. Lâche, hurlerait les autres. Mais ce n'est pas toi qui as commencé. Ça remonte à loin, ton père, qui n'a pas tenu sa promesse, la promesse d'un avenir meilleur, et ta mère, qui a suivit sans broncher, de peur de n'avoir plus rien du tout. C'est eux, qui t'ont abandonnés, eux qui t'ont trahis. Et moi toi, tu ne fais que perpétuer une grande lignée de lâche.
Chapitre 2 ; C’est comme un tourbillon : tous ceux que j’aime partent.
La porte s'ouvre brutalement, dans un grincement sonore qui t'arrache une grimace. Ce bruit, tu ne le connais que trop bien, ce bruit informe l'arrivé de nouveaux soucis. Mais cela, tu y es habitué. Cette journée ne fait pas exception à la règle, et comme toute les autres, tu l'as attaquer sombrement. On ne change pas les bonnes habitudes, après tout. Un garde d'un bon mètre quatre vingt ente dans ta cellule, et toi tu restes assit sur ta chaise. L'homme s'installe à la petite table que tu occupes, et te regarde. De son côté, tu fais de même et soutint son regard avec un petit sourire. Au bout de quelques secondes, l'autre cède et lâcha un petit soupire. « Tiens, on m'a demandé de t'apporter ce magnéto. Tu pourrais... Peut être que ta mère a envie de t'entendre tu sais. » Il sort l'appareil de son sac et le pose sur la table, pour ensuite le poussé jusqu'à toi, qui te redresse brusquement. Ta mère. Tu ne l'as pas revu depuis trois ans, depuis ton incarcération dans ce petit pénitencier d'Australie. « Tu pourrais lui dire quelque chose. » Tu lui répond d'une voix presque inaudible. « Oui. » L'homme se lève et se dirige vers la sortit, te laissant seul avec tes pensées. Tu n'as pas bouger, les yeux fixé sur le magnétophone. « Tu as cinq minutes. » « Entendu. »
Tu restes un moment à regarder l'appareil. Puis te décides enfin à l'allumer, après avoir vidé ta bouteille d'alcool. L'objet semble assez vieux, et est sûrement passé par beaucoup de mains, tous appartenant à des délinquants, comme toi. Tu toussote et te lance enfin. « Salut m'man. » Tu souris, une habitude après avoir prononcé ce nom. « J'me souviens de l'époque où j'étais pas plus haut que trois pommes, je pesais trente kilos tout mouillé, mais j'étais tout à toi. Le dimanche matin, j'allais travaillé avec papa. Et on grimpait dans le gros camion vert. Je croyais que ce camion était le plus grand camion de tout l'univers, maman. Je me souviens que notre travail était très important. Sans nous, les gens seraient morts de froid. Pour moi, il était le plus fort de tout, et tu étais la plus chouette des mamans. Tu te souviens quand on se filmait pendant les fêtes ? Des glaces, des matchs de foots, des histoires que tu me racontais ? Du jour où vous êtes partis ? Et quand tu es revenu en Australie, toute seule, pour me cacher, quand j'étais traqué par le FBI ? » Tu lâche un petit rire malgré tout. Malgré le fait que d'invoquer tout ces souvenirs te fait plus de mal que de bien. « Quand tu as dit au flic qui s'était mis à genoux pour enfiler mes bottes : « C'est tout ce que tu mérites sale petit con, de lui enfiler ses bottes. » C'était bien envoyé. » Tu t'arrête un moment et passe ta main sur tes yeux bleus, fermés. « Tu te souviens ? » Reprend-tu d'une voix étranglé. Tu ne vas pas te mettre à pleurer, tout de même ? Pas toi. Pas ça. C'est bien la dernière chose dont tu as besoin. Les autres vont recommencer à se foutre de ta gueule. Comme des loups affamés. Ici tu n'es pas celui qui as tué six hommes et deux femmes, tu n'es qu'un sale gamin des rues, pas assez intelligent pour ne pas s'être fait repéré par la police. « J'ai fait beaucoup de conneries. Une énorme erreur vers la fin. C'est ce que j'ai compris. Ça fait trois ans que je suis derrière ces barreaux, et je viens juste de le comprendre. » C'est vrai. Tu as énormément menti au cours de ces derniers mois. Sur ta nature, sur tes souffrances, sur tes problèmes. Mais pas cette fois. Tu ne peux pas mentir à ta mère. Malgré tout ce qu'elle t'as fait. Pas à elle, non. Le garde te rappelle qu'il ne te reste seulement quelques secondes. « Quand je serais sorti d'ici, je vais.. Je vais me trouver un boulot. Ouais, un nouveau départ. Une nouvelle vie. » Tu attrapes une autre bouteille et bois une nouvelle gorgée, qui te procures un semblant de calme. « T'es la meilleure des mère. J'aurais aimé faire plus. J'aurais aimé qu'on ai plus de temps. C'est comme ça. Maman... » l'appareil se coupe, et la fin de ta phrase n'est pas enregistré. C'est peut être mieux comme ça. « Je t'aime. »
justaddwater.com
Dernière édition par B. Flynn B. Fletcher le Dim 1 Juil - 13:46, édité 3 fois |
| | | ▷ so innocent.
PSEUDO : unspokenLIFE / sarah.
CRÉDIT : (c) corpse heart (avatar) & tumblr (gif)
MESSAGES : 1192
ARRIVÉE : 01/06/2012
DC : C. Larissa-Briséïs Psakis.
ÂGE : t-two years-old.
SITUATION : célibataire.
EMPLOI : scientifique, jeune chercheur en géologie.
JUKEBOX : THEKOOKS ▬ naive.
| | | |
PSEUDO : dark.shadow + Loïse.
CRÉDIT : © Queen G. + tumblr.
MESSAGES : 20
ARRIVÉE : 01/07/2012
ÂGE : 24 ans.
SITUATION : célibataire.
EMPLOI : barman au Top pub.
JUKEBOX : alice's Theme- Danny Elfman.
| Sujet: Re: FLYNN → Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. Dim 1 Juil - 12:56 | |
| Merci beaucoup. (aa) J'espère que je ne décevrai personne. x) |
| | | ▷ so innocent.
PSEUDO : unspokenLIFE / sarah.
CRÉDIT : (c) corpse heart (avatar) & tumblr (gif)
MESSAGES : 1192
ARRIVÉE : 01/06/2012
DC : C. Larissa-Briséïs Psakis.
ÂGE : t-two years-old.
SITUATION : célibataire.
EMPLOI : scientifique, jeune chercheur en géologie.
JUKEBOX : THEKOOKS ▬ naive.
| Sujet: Re: FLYNN → Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. Dim 1 Juil - 15:23 | |
| |
| | | | Sujet: Re: FLYNN → Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|