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DEUS ▲ fire to the rain
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| Sujet: Une cohabitation prometteuse ▲ WILLY&DEUS Mar 3 Juil - 10:45 | |
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Une cohabitation prometteuse willy & deus PSEUDOS DES PARTICIPANTS : E. Wilhelmina Forbes & C. Amadeus Von Mises. SUJET OUVERT PAR : Amadeus Von Mises. DATE ET HEURE : 4 juillet à 12:40. LIEU : Dans la demeure de Wilhelmina. météo : Temps ensoleillé qui promet une journée chaude malgré la saison. CONTEXTE DE LA RENCONTRE : Suite à la réponse de son annonce dans le panneau d'affichage de la ville, Amadeus emménage chez la demoiselle et va partager ainsi le quotidien de Wilhelmina. DE L'EAU AUX ALENTOURS ? Relative proximité de la plage. justaddwater.com
Dernière édition par C. Amadeus Von Mises le Mar 3 Juil - 13:24, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Une cohabitation prometteuse ▲ WILLY&DEUS Mar 3 Juil - 10:50 | |
| C’était en cette journée que s’annonçait un nouveau départ. Une journée qui s'annonçait radieuse en vue du ciel dégagé qui s'éclaircissait selon la lente ascension du soleil. Les rares et fines couches de nuages étaient percées par les premiers rayons matinaux, leur donnant ainsi une teinte rosée tel un voile caressant doucement le ciel. Couleur d'ailleurs qui faisait un contraste extraordinaire au bleu azur du firmament. Un lever de soleil aussi beau qu'un coucher en somme. Chayton, de son second prénom, en fut d’ailleurs le spectateur bien que sa montre affichait une heure bien hâtive. Cheveux en bataille, couché sur le dos dans une position peu élégante, Amadeus n'avait en effet pas tellement dormi de la nuit. La raison de cette insomnie demeure être la plus simple du monde : une chaleur étouffante. Pourtant, l’air inaltéré nocturne était, cette nuit là, frais et plus qu’apaisant. Cette présente chaleur était devenu finalement propre à son ridicule petit logement dont l’espace était tellement encombré et restreint qu’il lui était relativement impossible d’aérer ce petit appartement. Un immeuble qui avait des projets de
réaménagement afin de le rendre plus luxuriante et d’accueillir une population aux revenus plus élevés. Ne manquant certes de rien, les nouveaux appartements que proposerait son si amical propriétaire seraient bien aux dessus de ses revenus. Amadeus comprit vite qu’il allait bientôt se retrouver à la rue s’il ne trouvait pas rapidement un logement adéquate. Logement qu’il avait trouvé de manière assez rapide après avoir apposé un misérable post-it sur le tableau d’affichage de la ville. Il recherchait une habitation et n’ayant ni le temps, ni les moyens pour le moment de s’en dégoter un par ses propres moyens, il avait opté pour une cohabitation avec qui voudra bien de lui. La réponse se fit sans attendre et la personne qui proposa ses services fut la belle Wilhelmina, sa tendre collègue de travail. Bien au-delà de cela, une liaison particulière les lit l’un à l’autre. La beauté singulière de la demoiselle ne laissant pas indifférent l’artiste invétéré, un jeu de chat et de la souris s’était installé progressivement ; c’est pourquoi, comprenez la réaction et les idées quelques peu pernicieuses qui germèrent dans l’esprit du jeune homme suite à l’appel téléphonique de la demoiselle lui proposant d’emménager chez elle. Sa réponse fut donc immédiate et positive à n’en point douter. Malgré tout, il savait que partager le logement de la demoiselle ne serait pas de tout repos..
Nous le retrouvons alors, accoudé sur le rebord de sa fenêtre laissant échapper des volutes de fumés d’une cigarette emprisonnée entre ses doigts. Il n’avait pas encore entreprit la lancinante tâche de faire ses cartons pour emporter avec lui ses affaires et cette simple pensée provoqua un soupir sec. Se donnant ainsi du courage, il tira une dernière fois sur son mégot avant de l’écraser sur la pierre froide laissant une énième trace noirâtre. Entrant de nouveau dans cette atmosphère étouffante, il entreprit avec flegme d’entreposer les premières affaires, sous les yeux azurs de son chien, couché sagement contre la porte.
Peu de temps avant son départ, l’heure affichant onze heures moins dix, Amadeus entendit quelqu’un taper sèchement contre la porte. Son propriétaire. Propriétaire avec qui il n’entretenait pas une relation aussi amicale qu’avec celle de Willy puisque depuis son arrivée dans l’immeuble, tout deux avaient eu des problèmes notamment concernant le chien que le propriétaire jugé de bruyant. Raison factice toutefois puisque le propriétaire cherchait toutes sortes d’excuse pour déloger le jeune homme de son immeuble. Aujourd’hui, Amadeus le quittait et le propriétaire en était plus que ravi. « Et merde… » jura t-il dans sa barbe avant d’ouvrir brusquement la porte. Face à Amadeus, le propriétaire l’avisa avant d’entrer dans la pièce, sans dire un mot et d’observer les moindres recoins, afin de vérifier si aucun dommage matériel n’était à déclarer. Inspection fini, il repartit comme s’il était déçu de n’avoir rien trouvé et ainsi de n’avoir rien à exiger en compensation à Amadeus ; celui-ci toujours, se posta finalement devant le musicien et en lui jetant un dernier regard mauvais, s’en alla dans un bruit de clefs s’entrechoquant. Un sourire s’étirant amèrement sur les lèvres, le jeune homme le regarda s’en aller en songeant qu’il venait de laisser échapper la dernière occasion pour lui de lui en faire voir de toutes les couleurs avec l’aide de ses poings. L’heure du départ arrivait enfin. Chargeant tout dans sa voiture, il démarra et s’en alla vers son nouveau logement et laissant derrière lui son ancien.
Lorsqu’il fut enfin arrivé à Charlotte Street, l’artère principale de la ville, Amadeus situa l’emplacement de la maison de Willy et se trouva une place non loin. Chez la jeune femme l’on entendit une sonnerie ; Amadeus était effectivement posté devant la porte, deux grands cartons et un chien à ses pieds tandis qu’une guitare, encore dans son étui, gisait contre le mur. Les bras croisés, il attendit qu’on lui ouvre et cette attente lui permit d’observer la maison en question. Elégante elle était. « A l’image de sa propriétaire. » pensa t-il avec un léger sourire amusé. Au même moment, son attention se reporta immédiatement sur la porte qui s’ouvrait à présent et qui présenta face à lui la jeune femme. Le jeune homme l’observa rapidement avant de s’exclamer. « Vivre en colocation avec une aussi belle jeune femme, j’en ai de la chance. » |
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| Sujet: Re: Une cohabitation prometteuse ▲ WILLY&DEUS Mer 4 Juil - 13:15 | |
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i just met you and this is crazy ◂ 12h 40 CHARLOTTE STREET - FORBES HOUSE. Les jours passent mais cela ne change rien, j'ai toujours autant de mal à vivre. Je pensais avoir réussie à oublier cette blessure qui parfois m'attaquait la poitrine. Inlassablement pourtant, elle revenait sans cesse. Me rapellant depuis deux mois que je n'étais pas que sirène, mais avant tout humaine. Cette blessure qui venait de la mort de mon père. Ma mère m'avait laissée m'acheter une maison, ou plutôt m'avait aidé à la financer. Cependant, elle venait tout juste de perdre son boulot, me forçant ainsi à devoir trouver un colocataire. J'avais donc farfouillée dans les petites annonces et avais rapidement trouvée celle d'Amadeus. Amadeus était animateur au marineland, tout comme moi. Ce faisant nous nous connaissions quelque peu, surtout que j'y travaillais depuis déjà quatre mois. En quatre mois on peut en apprendre beaucoup sur les gens, pour commencer je savais qu'il était attiré par moi. Chaque homme sur cette planète devait l'être de toute façon, mon physique ne pouvait laissé insensible personne. Il était aussi un musicien de talent et j'avais découvert il y'a peu, hier en vérité, qu'il possédait un chien. Et ces deux créatures, cet homme et ce chien allaient venir vivre dans ma maison. Parce que j'avais acceptée de les voir débarquer chez moi et vivre avec moi. Cela m'arrangeait, mais comme me l'avait dit Sara-Lynn, c'était dangereux. Et ce à cause de ma toute nouvelle nature, cette nature que je me devais de cacher au monde entier parce qu'ils pourraient - les gens du monde - nous transformer en sushis, ou en bêtes de laboratoire ou créatures de zoo. Mieux valait donc selon elle, que je n'accepte personne chez moi, personne qui n'avait des écailles. Je ne voyais pas les choses de la même façon. De un, je ne voulais pas me mettre en colocation avec Meghan, et ce parce que j'étais certaine de voir Sara-Lynn débarquer à tout moment. Je ne voulais pas de la seconde. Et ma mère n'était pas prête à me revoir débarquer à la maison à cause de soucis d'argent. De plus, avoir un homme chez soit était toujours quelque chose de plus avantageux. Il fallait dire qu'Amadeus n'était pas repoussant, bien au contraire. Un regard sur mon portable m'indiqua qu'il n'allait pas tarder à être là. Je décidai donc de me lever de mon lit, le refaisant et passant un petit peu de parfum dans chaque pièce avant de les aérer. Oui, c'est très utile. Parce que les bonnes odeurs imprègnent les linges de ce fait. Un miaulement au premier me fit comprendre que mon chaton avait besoin de moi. Descendant en courant, je m'agenouillais à ses côtés et me mis à le caresser avant de le prendre dans mes bras et d'aller le mettre près de sa gamelle, remplis de saumon tout droit sortit de l'océan. Je montais ensuite une nouvelle fois à l'étage pour prendre un bain. D'un mouvement de la main, l'eau jaillit du robinet et se mit à couler, déversant des voluptes de vapeurs. Je retirais mon soutien-gorge bordeau, ainsi que mon shorty assortit et les jetais dans la panière. J'arrêtais l'eau de couler puis entrepris de me brosser les dents, prenant bien garde de ne pas me mouiller les mains. Ceci fait, je plongeais dans ma baignoire. Ma transformation se fit rapide, comme à son habitude et je pu contempler les écailles dorées remplacées mes jambes. J'y restais le temps qu'il fallait afin d'être propre - sans blague - puis sortais de ma baignoire lorsque mes jambes reprirent enfin leurs place. Je me dirigeais vers mon armoire et optais enfin pour un top noir et un shorty noire, passant par dessus un gilet gris. La sonnette retentit alors. Il était là. Regardant autour de moi, je pris bien soin de constater que tout était en ordre. Beluga - mon chaton - grattait contre la porte. L'attrapant, je le pris et le mis sur l'un de mes fauteuils. Je me dirigeais ensuite vers mon frigo et en sortit une bouteille de champagne. Il devait s'impatienter à l'extérieur, mais une femme se devait de se faire désirer. Passant devant mon miroir, je pris un rouge à lèvres et m'en étalais sur les lèvres, je me parfumais ensuite légèrement et enfin me dirigeais vers la porte. Inspirant profondément je l'ouvrais. « Vivre en colocation avec une aussi belle jeune femme, j’en ai de la chance. » Je le déshabillais du regard, comme à mon habitude lorsque je croisais un homme. Amadeus était charmant, il fallait être honnête. Autant physiquement que dans les paroles qu'il pouvait m'adresser. Un petit sourire se dessina sur mon visage.« Si tu savais chéri, je sens que ça va être jouissif. » Je laissais la porte grande ouverte et déposai la bouteille de champagne que j'avais préparé pour l'occasion. Je regardais son chien, un husky, si mes souvenirs en matière de race canine étaient bons. Je m'abaissais près de lui et commençais à le caresser, souriant niaisement. Oui, niaisement. Je me relevais ensuite et allais chercher deux flutes de champagne, les remplis et en servais une à Deus. « Je te fais une petite visite, honey? Il faut aussi qu'on parle de la chambre... » Un sourire aux lèvres je regardais Beluga s'approcher timidement du chiot de mon nouveau colocataire. Ils semblaient s'entendre pour le moment. « Tu as le choix entre avoir ta propre et chambre et .. venir t'installer dans la mienne.. » Un sourire charmeur sur les lèvres, je bu une petite gorgée de champagne avant de monter à l'étage avec le nouvel homme de la maison.
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| | | | Sujet: Re: Une cohabitation prometteuse ▲ WILLY&DEUS | |
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