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| Sujet: Everybody have his secret (Isleen) Lun 2 Juil - 18:32 | |
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Everybody have his secret Don't say anything PSEUDOS DES PARTICIPANTS : Isleen-Luz A. Maryn & Pearl A-S. Wates SUJET OUVERT PAR : Pearl DATE ET HEURE : Sept juillet 2012 aux alentours de 15 heures LIEU : The Reef Café météo : Ciel nuageux mais le soleil est présent CONTEXTE DE LA RENCONTRE : Se voyant octroyer une journée de repos, Pearl décide par un pur hasard d'aller au Reef Café et croise la route d'Isleen. DE L'EAU AUX ALENTOURS ? A priori, non. justaddwater.com
Dernière édition par Pearl A-S. Wates le Lun 2 Juil - 19:18, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Everybody have his secret (Isleen) Lun 2 Juil - 19:15 | |
| Everybody have his secret | |
« Prend une journée de repos Sol, cela te fera le plus grand bien. Les chevaux peuvent se passer de toi un journée. » Tu esquisses un vague sourire à l’offre que te fait ton père, car si cela se veut être une bonne intention, il s’avère que depuis que tu as dix-neuf, sortir n’est plus aussi plaisant qu’autrefois, surtout dans un lieu comme Cooktown ou l’eau demeure présente à foison. Il faut bien avouer qu’il est déroutant d’être toujours aux aguets, à vouloir vérifier qu’aucune gouttes ne puissent t’atteindre et ainsi, garder intact un secret que tu comptes bien enfouir le plus profondément possible. Il aurait été bien plus simple d’être une créature toute autre que celles qui pouvaient se transformer sitôt que l’H2O touchait leurs corps. Finalement, tu acquiesces silencieuse et remercie ton paternel en le gratifiant d’un regard amical. Achevant la dernière tâche qu’il t’était incombé de faire aujourd’hui, tu décides finalement, sur ses conseils, de quitter le ranch. Les odeurs des écuries sont tout autres que celle des rues de la ville, qui sont pour la plupart embaumées d’odeurs marines offertes par la plage ou les commerces marins qu’on trouve beaucoup ici. Pour quelqu’un comme toi, sans doute n’étais-ce pas la ville la plus propice pour garder cacher ton secret mais tu avais finis par apprécier l’endroit, loin d’être la plus belle ville que tu avais vu, elle n’en demeurait pas moins celle ou tu pouvais – enfin – créer des liens sans avoir peur qu’au lendemain, il faille plier bagages et quitter les lieux. A contrario de Londres, même par la saison hivernal, il s’avérait que le soleil continuait de briller sous un ciel souvent bleu et une température loin de sembler fraîche, avec les vingt-cinq degrés qu’offrait cette journée, on pouvait se targuer de ne pas avoir besoin de gros manteau pour sortir.
Tu ne tardes pas à arriver au Reef Café, dont on t’avait souvent parlé, en bien, évidemment et d’un naturel curieux, tu avais finalement décidé d’y mettre les pieds et de juger par toi-même ce qu’il en était. Pourtant, dans la foule de personne qui se pavanait là, la présence d’une d’entre elle te figea de surprise. Le visage de cette femme brune ne t’était pas inconnu, bien au contraire. Et tu te souvenais avec exactitude de votre rencontre pour le moins surprenante. Tu ne connaissais alors rien des sirènes. Aloys t’en avait parlé, lorsque tu vivais encore à Londres, te contant que sa mère en était une mais tu n’en avais jamais crut mot. Hors, il y a huit ans de cela, sur les côtes d’Argentine, elle était là, bien différente de celle que tu voyais maintenant. Non pas à cause des années passés mais plutôt par sa tenue. Tu l’avais croisé allongée dans le sable, une nageoire remplaçant les deux jambes fuselées sur lesquels elle se tenait présentement, ne portant aucun vêtement, vêtu seulement d’écaille d’un bleu sombre et brillant, presque envoûtant. Par ailleurs, sans doute que ce tableau aurait pu être somptueux si le choc de croiser une personne ainsi constituée ne t’avais pas mit la tête à l’envers. Telle une demeurée, tu avais favorisé la fuite avant même de tenter de te calmer. Et quand bien même l’eus-tu regretter dès le lendemain, il était désormais trop tard pour s’excuser du comportement peu respectueux que tu avais eut à son égard.
Cette fois-ci toutefois, elle était bien là, sous un aspect plus humain, à des milliers de kilomètre de l’Argentine, tenant le Reef Café. Jeune femme naïve, tu y voyais là un signe du destin, te poussant à aller voir cette femme souriante qui ne semblait aucunement porter le poids du fardeau – car à tes yeux, c’était ça : un fardeau – qui était également le tient. T’avançant jusqu’à elle tel l’automate qui ne pouvait pas faire demi-tour, tu affiches un demi-sourire quelque peu contrit, espérant que, malgré le temps écoulé, elle ne te voit pas comme une sauvage qui part en hurlant chaque fois que quelque chose la surprend. « On peut le dire : le monde est petit. » Minaudes-tu. Tu n’as pas besoin de préciser de quelle manière vous vous connaissez, tu sais parfaitement qu’elle ne l’a pas oublié. Difficile d’effacer de sa mémoire une personne qui vous fuit comme si vous aviez la peste. Tendant une main amicale, signe d’une paix implicitement signée et d’excuses silencieusement énoncées, tu te présentes. « Pearl Wates. » Histoire qu’elle puisses mettre un nom sur la jeune femme folle d’il y a huit ans.
Dernière édition par Pearl A-S. Wates le Jeu 5 Juil - 17:51, édité 1 fois |
| | | Luz ¤ Lemme light up your world
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| Sujet: Re: Everybody have his secret (Isleen) Lun 2 Juil - 23:14 | |
| Journée qui s’annonce banale, comme le reste des autres jours, je dois bosser au café. Pour l’instant cette vie me plait bien, mais je commence à comprendre qu’elle risque aussi de vite me monter à la tête. Bien sur, c’est agréable, mes journées sont remplies, mais j’ai l’impression que je ne peux pas souffler une seule seconde et c’est pesant. Il faut dire aussi que je suis passée d’un extrême à l’autre… Quand j’étais encore à LA, je vivais avec ma mère, et animait des soirées dans des mariages et des pubs… Autant dire que je ne voyais pas la même chose tous les jours. Ici la routine s’est installée progressivement. Je me lève le matin, dans mon loft, je range deux trois trucs avant de descendre, histoire de me réveiller puis une fois habillée, rejoins le café. C’est moi qui fais l’ouverture, tous les jours à 6h30. Je prends généralement mon petit déjeuner vers 8h, quand le reste du staff est arrivé et que je suis moins prise par les clients, travaille jusqu’au déjeuner puis au dîner. Heureusement, chaque jour contient un petit évènement qui le fait sortir de l’ordinaire, sans quoi je ne survivrais pas. Aujourd’hui, ce petit plus c’est la rencontre avec cette femme. Enfin, je devrais plutôt dire re-rencontre ?
C’était il y a … huit ans il me semble, un soir d’été en Argentine. Le soleil se couchait sur l’océan, et, ayant trouvé une plage à priori déserte et à l’abri des regards, je me suis baignée. Mes jambes fines ont laissé place à ma queue bleu nuit, et j’ai pu profiter de cette sensation magique mais pourtant si habituelle pour moi qu’est de nager lorsqu’on est sirène. Quelques minutes plus tard, je m’allonge sur le sable chaud afin de sécher et de retourner chez ma grand-mère. Elle se tenait là, derrière moi, et je ne l’avais pas remarquée jusqu’à ce qu’elle pousse ce petit cri. Nos regards ont à peine le temps de se croiser que déjà elle est loin. Mon corps sec, je me lève à la hâte, cherchant à revoir la mystérieuse inconnue de la plage, en vain. Je ne l’ai pas vu comme un affront ou un manque de respect… Juste par un effroi, en réalité, et je peux comprendre tout à fait. Quand on y pense, c’est déroutant de rencontrer une sirène pour la première fois de sa vie. J’ai finalement abandonné mes recherches et ai terminé mes vacances sans le moindre heurt, mais sans revoir la fille de la plage non plus.
« On peut le dire : le monde est petit. ». Elle me tire de mes souvenirs par cette phrase. Je hausse les épaules en riant très légèrement. Il faut croire qu’elle se souvient de moi également. Remarquez, il n’est pas facile d’oublier une sirène quand on n’en est pas une. Elle me tend la main et se présente : « Pearl Wates. » je lui rend sa poigne et dis à mon tour : Isleen-Luz Maryn. Enfin… Juste Luz quoi. Vous êtes d’accord, ça ira plus vite ? Je m’assieds devant elle à table, sans trop me gêner et lui demande : Vous venez souvent ici ? Cette phrase n’est au fond qu’un prétexte pour bavarder. Parce que oui, vous me l’accorderez, commencer une discussion par : Tu te souviens quand on s’est vues à la plage et que j’étais un poisson ? C’est moyen… Parler du Reef, ça passe mieux ! |
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| Sujet: Re: Everybody have his secret (Isleen) Jeu 5 Juil - 21:48 | |
| Everybody have his secret | |
Certains disent que les rencontres définissent une vie, une personne. Que l'influence vient, pour la plupart, des gens qui nous sont inconnus. Que la femme dans le bus, celle que vous observerez avec un air intrigué, celle qui a un tic farouchement dérangeant, vous transmettra ce tic simplement parce que vous avez perdu du temps à l'observer faire. Une main passée dans les cheveux, la langue passée sur la lèvre inférieure. Qui sait ? Peut-être que dans le fond, tout cela était vrai. Alors, ta rencontre avec Isleen aurait eu un effet sur toi ? A définir, sans doute aurait-elle réussit à te rendre encore plus timide qu'avant, tellement effrayée à l'idée de te retrouver à nouveau dans cette situation délicate ou, sur le coup de l'impulsivité, tu prendrais tes jambes à ton cou sans demander ton reste. Tu avais d'ailleurs eu le loisir de ressasser ta faute durant des jours entiers tant tu t'étais sentie mal et, aussi loin que tu te souviennes, tu avais d'ailleurs été malade un jour ou deux. Sans réellement savoir si c'était parce que tu avais vu une sirène, ou parce que tu t'étais comportée comme une sauvage. Cependant, peut-être est-ce dû à la sympathie dont faisait preuve ton interlocutrice, ou même au fait que, contrairement à toi, elle ne garde pas un souvenir concis de votre rencontre, toutefois, tu dois avouer qu'il est moins contraignant d'aller la voir que tu ne l'aurais pensé. Et si, au début, tu étais bel et bien happé par la gêne, celle-ci s'évapore à mesure que le sourire de cette femme s'étend devant toi. « Isleen-Luz. Enfin ... Juste Luz quoi. » Tu esquisses un sourire devant sa poignée de main chaleureuse. Peut-être n'a-t-elle pas la rancune tenace, après tout ? Ou n'a-t-elle pas de rancune du tout ?
Cesse de stresser, Pearl. Après tout, elle ne peut pas t'en vouloir, sinon, elle ne serait pas assise là, à ta table, devant toi ? « Vous venez souvent ici ? » Une question anodiqne qui, sans qu'elle le sache, a le don de te mettre quelque peu en confiance, désormais plus rassurée, sans avoir la crainte que, soudainement, elle se lève de sa chaise telle une furie en te rappelant qu'elle sans-gêne tu as été. Tu peux ainsi commencer à faire disparaître le sourire poli que tu affiches souvent et esquisser un véritable sourire. « Dans le reef ? Non, pas tellement. J'avoue que j'y mets les pieds pour la première fois. » Sans doute aurais-tu pu y venir plus tôt, mais tu n'en as jamais vu la réelle utilité - ni la grande motivation, d'ailleurs - mais par respect, tu t'abstiens de le dire, c'est généralement plutôt mal vu de s'aventurer à dire à la patronne qu'on n'a jamais eu la grande envie de venir dans son commerce. Surtout quand on a déjà bien assez gaffé avec celle-ci. En effet, même si elle ne montre aucun signe de rancune, toi, par contre, tu t'en veux et tu prends garde à chaque geste et chaque parole que tu peux dire, jugeant qu'il n'est pas utile de froisser davantage Isleen-Luz par tes réactions. « Cela dit, c'est un très bel endroit. J'ai manqué quelque chose. » Pas avare de compliment, tu n'es pourtant pas en train de la brosser dans le sens du poil et tu penses mot pour mot ce que tu dis là. Jouer les hypocrites n'est pas vraiment dans tes habitudes et il faut dire qu'il serait difficile de ne pas apprécier un endroit comme le Reef Café. A moins d'être un ivrogne qui ne rêve que de bière et de femme se déhanchant de manière trop provocante. Ce qui, fort heureusement, n'était pas ton cas.
Jouant un instant un rythme inconnu grâce à tes ongles sur la table du café, tu réfléchis silencieuse au meilleur moyen de parler de votre première rencontre mais surtout de t'excuser. Oui, les excuses, tu meurs d'envie de les prononcer, depuis que tu l'as revu, tu ne penses qu'à ça, tu sembles même tourner en rond dans ta propre tête à force de vouloir les formuler. « Je ne m'attendais pas à vous recroiser un jour après ... ce jour-là. » Tu insistes sur les trois derniers mots, comme si elle n'avait pas comprit. Affichant un sourire contrit, tu lèves finalement ton regard vers Isleen. « Puis ma foi, je crois qu'il est d'usage de s'excuser, même si j'ai beaucoup de retard. Ce n'était pas poli du tout. » La moue désolée qui prend possession de tes lèvres témoignent du niveau de gêne que tu as atteint ce jour-là, d'ailleurs.
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| Sujet: Re: Everybody have his secret (Isleen) Dim 22 Juil - 15:48 | |
| « Vous venez souvent ici ? » Ma question était évidemment rhétorique. Bien sur que je sais que c'est la première fois qu'elle vient. J'ai une très bonne mémoire des visages et je suis certaine ne jamais l'avoir vue. Au RC s'entend, parce qu'effectivement, on s'est déjà croisées par le passé. « Dans le reef ? Non, pas tellement. J'avoue que j'y mets les pieds pour la première fois. » Voilà qui conforte mes idées. Elle me complimente ensuite sur l'endroit. Je peux dire que je suis d'accord avec elle, je suis fière de mon café. Quand on voit ce que nous avons réussi à en faire en seulement deux mois, ainsi que le nombre de personnes qui ont pris leurs habitudes ici, ça fait chaud au coeur. Je lui sourie alors, encore plus, en hochant la tête, signe de reconnaissance. Je ne suis pas le genre de personne à en faire des caisses niveau sentiments. Il faut me comprendre à demi-mot, je ne suis pas très expansive... Autant, dans mes meilleurs jours, je peux être exubérante et de bonne humeur à souhait, autant ce que je ressens, ce que je suis au plus profond de moi, reste caché. J'ai toujours attribué ça à la perte de deux êtres chers... Quand on connait le deuil comme je l'ai connu, on refuse à s'attacher comme avant. La douleur est telle qu'il est impensable d'en ressentir une semblable un jour.
Visiblement, elle ne s'attendait pas à me revoir un jour. Il faut dire que moi non plus, les chances pour que ça se produise étaient minces... Notre première rencontre a eu lieu dans une plage reculée au fin fond mon Argentine maternelle. Alors se retrouver ici, à des milliers de kilomètres de cette baie en question, c'est impensable.« Puis ma foi, je crois qu'il est d'usage de s'excuser, même si j'ai beaucoup de retard. Ce n'était pas poli du tout. » Je laisse échapper un petit rire, dans le seul but de la mettre en confiance. Tout dans l'expression de mon visage lutte pour l'aider à dé-stresser, mais ça ne semble pas être le cas... Je finis par dire, sans effacer le sourire dessiné sur mes lèvres : J'peux pas vous en tenir rigueur. Moi j'ai l'habitude, je suis comme ça depuis que j'ai 9 ans, mais j'imagine très bien que ça doit être perturbant la première fois. Surtout qu'on fait tout pour cacher notre existence... Je n'ai jamais réellement compris pourquoi, d'ailleurs... Tout serait tellement plus simple si le monde savait pour nous, mais j'ai pris le pli. Quand on est gosse, on a peur de se faire traiter de monstre ou ce genre de qualificatifs très agréables à entendre, donc on ne dit rien... Et adulte, c'est pire, on est persuadé que personne ne nous croirait. En bref, chacun garde ça pour lui, et quand on rencontre une autre sirène ou un triton, par mégarde, on est bien content de pouvoir partager ce lourd fardeau avec quelqu'un. Ca ne vous avait pas trop fait peur, d'ailleurs? J'me suis souvent demandé ce que vous aviez bien pu ressentir après vous être enfuie... en sautant du coq à l'âne, comme c'est souvent le cas dans une conversation avec moi, je demande : Vous prenez quelque chose? C'est moi qui régale ! Un café contre un traumatisme, je suis plutôt gagnante au change, je trouve... - Spoiler:
Coucouuuu ma Pearly ! J'suis désolée pour ces 20 longs jours d'attente, et encore, mon texte est très bof... Mon ordi a rendu l'âme, et j'ai des cousins non-rpgistes chez moi... Alors avec le soleil, la plage et tout et tout, tu comprends bien que je n'ai pas une minute à moi ! Encore désolée et gros bisous !
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| | | | Sujet: Re: Everybody have his secret (Isleen) | |
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