Aujourd’hui j’étais vraiment enforme et heureuse ! Pourquoi ? Il n’y avait pas vraiment de raison, mais je pense que même dans une situation triste, je n’arriverais pas à décrocher mon sourire. Mais heureusement, je n’étais pas confrontais à cela ce jour-ci. Comme chaque matin je partis nager avant d’aller dans l’île de Mako, c’est mon rituel matinal. J’adore ces moments, être dans l’eau sans être obliger de remonter à la surface, c’est tellement … merveilleux, mais c’est indescriptible cette sensation ! Mais ces moments de bonheur sont en danger, pleins de gens sont à la recherches de ses choses étranges. Cela inquiète vraiment les sirènes qui ne souhaitent pas changer leurs habitudes, surtout que lorsque le monde le sera, les sirènes seront des cobayes qui seront ouverts dans tous les sens, ou nous seront dans des cirques et nous serons pris pour des monstres. Lorsque j’ai l’occasion de croiser une de ces personnes qui cherches ses choses inhabituels, je fais mon possible de l’envoyer sur une autre route, même si j’apprécie cette personne, comme Leighton Davies. J’adore vraiment cette fille, elle est vraiment sympa et on a une même passion : le journalisme. Je suis en étude de journalisme et Leighton est une grande journaliste New-Yorkaise, mon rêve quoi !

J’avais prévu de la retrouver la jeune New-Yorkaise à la plage, bon je sais que c’est un peu risqué mais je partirais d’un bon le plus loin possible avant que l’on me voie. Après ma baignade à Mako, je me mis en maillot de bain et par-dessus une robe bleue à volants qui ne faisait pas trop habillé. J’avais mis mes ballerines et je pris un sac où j’avais mis mes clés, une serviette (qui ne servirai pas je pense), une paires de lunettes, un livre et des tongs pour la plage. Je partis le plus vite possible de peur d’être en retard ce qui ne ferait pas une bonne impression. Lorsque j’arrivais je cherchais Leighton du regard, mais elle n’était pas là alors je choisis une place plutôt éloigné de la plage et des personnes qui se baignent afin de ne pas être mouillé. En attendant la journaliste je commençais à lire mon livre et à guetter les personnes qui se dirigeaient vers moi.

Mon livre ne me passionnait pas vraiment, les trois mousquetaires ce n’était pas vraiment mon truc. Je le lisais juste parce que je m’ennuyais, j’étais un peu en avance comme à mon habitude, je ne suis jamais en retard car j’ai trop peur des conséquences. Ça a commencé lorsque j’étais au lycée, je ne m’intéressais pas vraiment au cours mais je n’ai jamais était isolante avec les professeurs, mais je l’ai été une fois et j’en avais assez bavé alors je mettais repris en main.
Je lisais mon livre sans le lire, je sais que vous ne devez pas trop comprendre, mais je lisais chaque mot mais en pensant à autre chose et en regardant les alentours. J’ai passé à mon avis plus de temps à regarder ceux qui passait vers moi que comprendre mon livre ; j’avais tellement peur qu’une goutte d’eau me touche, et que quelqu’un me voie avec une queue de sirène aux écailles blanchâtres. Après ma vision de ce qu’il pourrait se passer, je regardais quel heure il était, alors étant une personne toujours à l’heure je commencer à m’inquiéter pour la jeune journaliste. C’est vrai qu’elle n’avait qu’un quart d’heure de retard, mais je commençais à m’imaginer le pire.
Je sortis de mes pensées lorsque je sursautais en entendant la douce voix de Leighton «Salut Kristen, j’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre, y’a un monde fou !» je lui souris en lui répondant « Oh non t’inquiète pas, je suis toujours en avance et ce n’est que quelques minutes de plus après tout. » Je le pensais ce que je disais, mais si je donne impression du contraire. Elle s’installa à côté de moi et me demanda ce que je lisais « Oh les Trois mousquetaires, ce n’est pas si intéressant que ça. »
A peine arrivait, elle mettait déjà de la crème solaire en disant « Passage obligé, sinon dans une heure je ferais de l’ombre aux écrevisses !» Deux fruits de mer à la plage ! « J’ai du mal à te voir dans cet état ! » dis-je en plaisantant. Je posais mon livre à mes côtés et j’enfilais ma paire de lunettes de soleil en regardant toujours les alentours. Un garçonnet de 4 ans à peine passa près de nous avec un seau d’eau qui gicler de partout. Je me redressais d’un bon « Je suis restée trop longtemps assise, à un moment ça fait assez mal aux fesses ! Alors où en sont tes recherches sur ces phénomènes étranges ?» Je me rasseyais en rangeant mon livre à l’abri de l’eau, même si il ne me passionnait pas tellement je souhaitais le conserver.