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 « I felt like destroying something beautiful. » ▲ WILOU&AARON

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Aaron N. Oxburry-Smythe
Aaron N. Oxburry-Smythe

PSEUDO : bleeding lungs
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SITUATION : Fiancé à la plus beeeeelle (a).
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MessageSujet: « I felt like destroying something beautiful. » ▲ WILOU&AARON   « I felt like destroying something beautiful. » ▲ WILOU&AARON EmptyMar 3 Juil - 9:54



« I felt like destroying something beautiful. »
It's hard to remember the people we used to be

PSEUDOS DES PARTICIPANTS : E. Wilhelmina Forbes & Aaron N. Oxburry-Smythe SUJET OUVERT PAR : Aaron N. Oxburry-Smythei. DATE ET HEURE : Mercredi 3 Juillet 2012, à 16 heures.. LIEU : Marineland. météo : 24°C - ENSOLEILLÉ. CONTEXTE DE LA RENCONTRE : Retrouvailles. DE L'EAU AUX ALENTOURS ? Oui.
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Aaron N. Oxburry-Smythe
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MessageSujet: Re: « I felt like destroying something beautiful. » ▲ WILOU&AARON   « I felt like destroying something beautiful. » ▲ WILOU&AARON EmptyMar 3 Juil - 12:05

❝ it's like you screaming, and no one can hear, you almost feel ashamed, that someone could be that important, that without them, you feel like nothing.❞
Mes pensées se disputaient dans ma tête, comme des vagues frappant les récifs, elles me bousculaient, me malmenaient, je n'arrivais à me concentrer sur aucune d'elle, elles tournaient, tournaient, tournaient, sans jamais s'arrêter, tel un ouragan en plein mer, une grande avalanche qui tombe sur vous et emmène tout avec elle et puis, rien. Le vide total. Je ré-ouvris les yeux. Assis sur ma chaise de bureau, je mis mes mains sur mon visage pour apaiser le mal de tête qui m'avait soudainement pris. Cela faisait aujourd'hui une semaine que j'avais achetée cet endroit, Marineland, sur un coup de tête. Comme toujours j'avais agi par impulsion. Quelqu'un m'avait dit que Wilhelmina travaillait ici, alors juste comme ça, sans prendre la peine de le dire à qui que ce soit, je me suis retrouvé à dépenser une somme d'argent époustouflante pour acheter un endroit que je n'avais jamais réellement apprécié, tout cela, pour la revoir, pour lui reparler. La folie des autres a toujours su me fasciner, mais pas la mienne. Je n'aime pas quand les gens me regardent dans la rue avec des yeux ébahit, je ne suis pas fou, pas totalement. Je suis seulement impulsif, ce n'est pas de ma faute, mais je sais que c'est un grand défaut. Agir sur un coup de tête, y a pas plus con. C'est d'ailleurs en agissant sur un coup de tête, la première fois, que j'ai perdu Wily. Wily, c'est la fille pour qui j'ai acheté cet endroit, c'est la fille qui m'a poussé à redevenir fou et à réagir par impulsion, c'est la fille qui un jour a été ma meilleure amie, mais qui ne l'est plus parce que je suis parti quatre ans sans la prévenir, remarque faut la comprendre, moi non plus je n'aimerais pas qu'on me laisse comme ça, sans me le dire. Mais le mal est fait et maintenant si je peux rattraper ne serais-ce que le quart de la merde que j'ai foutu dans sa vie, je le ferai et même si je dois y mettre tout le fric du monde, je le ferai.
Ce n'est pas encore son heure de travail, là elle doit sûrement déjeuner quelque part en ville. Moi, je n'ai pas faim. Moi, je veux juste qu'elle me pardonne même si c'est trop lui demander, parce que je la connais sur le bout des doigts, mieux que Bethoveen connait ses symphonies, je la connais intégralement parce que je sais qu'elle est comme moi et elle personne ne la comprend comme je la comprends moi, parce que je suis le seul à savoir qui elle est, car je suis le seul à vivre en elle. Je sais que vous croyez que je dis n'importe quoi, mais c'est justement ça que je disais, vous ne pourriez jamais comprendre ce qui me lie à elle, parce que vous n'êtes pas moi, vous n'êtes pas nous. Des fois j'ai l'impression que nous sommes tous les deux les mêmes bouts d'une même personne et là vous vous dites que je suis fou mais c'est la stricte vérité. On est pareil, on vit en faisant semblant, sans cela on ne pourra pas survivre parce que c'est comme ça que les gens nous respectent, en faisant semblant. On fait semblant d'être fort même si on est blessé, on écrase les cons, on marche la tête haute sur le mauvais côté et on crache sur les autres, sans aucune pitié. On fait semblant d'être au-dessus de tout le monde même si ce n'est pas vrai. Mais vous savez l'important, c'est que personne ne le sache. L'important c'est que personne ne sache que nous avons autant peur d'eux, qu'ils ont peur de nous. Il y a une semaine, ma demi-soeur a débarqué chez moi. Je trouve ça stupide de devoir dire demi-soeur, une soeur c'est une soeur, ça ne peut pas être une soeur qu'à moitié, c'est une soeur complètement ou ça ne l'est pas, voilà.Donc, je disais, elle a débarqué chez moi, en plein nuit, au bord des larmes et elle m'a littéralement crié qu'elle était une sirène. Une sirène, ça a remué une bonne partie de mon passé ! Pourquoi dieu ma soeur est-elle venue me dire ça ? Moi qui était près à laisser mes gamineries derrière moi et à me comporter en vrai frère, elle est venue m'annoncer qu'elle était une sirène, elle ne pouvait pas tomber plus mal. J'ai décidé alors, de lui claquer la porte au nez et de lui dire qu'elle divaguait. Je sais que c'est vrai ce qu'elle m'a servie, j'ai une assez grande expérience avec cette foutue sirène rousse durant près de trois années, pour savoir qu'elle ne m'a pas mentie. Mais, j'étais chamboulé, j'avais décidé en revenant à Cooktown d'oublier toutes ces histoires de poissons et de me consacrer complètement à ma relation avec Maisy. Je me sens mal de lui avoir fait ça, en rajoutant ma culpabilité de l'avoir laissé tomber, à celle que j'éprouve quand je pense que j'ai gâché une si merveilleuse amitié avec Wil', je ne vous dis pas ce que je ressens. Alors, cette semaine, je prends mon courage à demain, je remballe mon foutu orgueil et je vais demander pardon à tous les gens que j'ai blessés un jour dans ma vie. J'agis encore une fois par impulsion je sais, mais là je pense que c'est le mieux à faire, surtout si je veux aider Vitanie. Mais en cet instant, ce n'est pas vraiment un problème tout ça. La seule chose qui me prend la tête c'est Wilhelmina.
Quel brouhaha dans ma tête ! Je me sortis tant bien que mal de mes pensées envahissantes pour lever la tête vers la pendule, quinze heure trente. Déjà ! J'avais perdu la notion de l'heure, cela devait faire une bonne soixantaine de minutes que Wil était revenue à Marineland. J'étais par contre sûr qu'elle ne savait pas que j'étais le nouveau gérant, j'allais donc la prendre au dépourvu, la connaissant, elle ne va pas trop apprécié, mais mieux vaut essayer quelque chose que de ne rien faire. Je pris ma veste posée sur l'accoudoir du fauteuil et je sortis du bureau en dévalant les marches vers là où elle travaillait. Je l'aperçu de loin à se débattre avec les dauphins, je suis resté comme ça une bonne dizaine de minutes à la regarder, elle n'avait pas vraiment changé, mais c'est sûr qu'elle a embelli. Pourtant, j'ai remarqué une chose, jamais elle ne touchait l'eau, elle restait bien loin des dauphins tout en leur donnant des ordres et le plus étrange c'est qu'ils lui obéissaient sans broncher comme si elle parlait leur langue. Que dis-je ? Je me fais des histoires encore une fois, avec tout ce qui se passe autour de moi, je commence à voir des femmes poissons partout. Un sourire vint se dessiner sur mes lèvres, je m'approchais d'elle. Elle se tenait près de la grande piscine où elle entraînait ses dauphins. Ce qu'elle était douée. Je posais une main sur son épaule pour la faire pivoter vers moi car, elle ne m'avait pas vue. Toujours aussi belle à ce que je voit. Je redoutais sa réponse, je savais qu'elle n'allait pas me sauter dans les bras comme je l'espérais, mais j'avais vraiment peur qu'elle ne m'envoie balader et j'étais sûr qu'elle voyait ma peur dans mes yeux aussi, son regard plongé dans le mien, ma main sur son épaule, j'aurais voulu congelé cet instant à vie, elle et moi, comme avant, de nouveau meilleur amis.
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E. Wilhelmina Forbes
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MessageSujet: Re: « I felt like destroying something beautiful. » ▲ WILOU&AARON   « I felt like destroying something beautiful. » ▲ WILOU&AARON EmptyVen 6 Juil - 11:58



watching you walk away

16 heures Marineland.
Ton paquet remplis de poissons dans les mains, tu avances. Tu sais déjà que tu arriveras en retard de quelques minutes, mais tu sais aussi que ce n'est pas grave, que tu sauras te débrouiller. Parce que c'est la vie et que depuis que tu es enfant, tu as réussies à te débrouiller et à te sortir de tout tes faux pas. Un regard sur la gauche et un autre sur la droite, tu vois le bus arriver. Il n'est pas en retard lui, mais il va te permettre de gagner plus vite ton lieu de travail. Alors tu montes dedans, jetant par la même occasion un regard de dégout au conducteur. Tu pensais que la ville était remplie d'hommes bodybuildés, mais tu te rends compte enfin que ce n'est pas le cas. Tu les attires juste comme des mouches et tu ne vois de ce fait qu'eux. Tu t'assoies près d'une personne, personne que tu déshabilles du regard et à laquelle tu montres qu'elle ne doit pas te chercher des poux. Tu n'aimes pas les gens. Les gens qui n'ont pas l'air d'en valoir la peine. Tout ça parce que tu t'es sentie trop abandonner durant ton enfance, et que tu ne veux plus trop que les gens s'approchent de toi. Pourtant, tu restes pleine de vie et tu coure derrière les beaux mâles qui te tournent autour, et tu possèdes malgré tout quelques amis. Le bus freine brusquement et le jeune homme près de toi se colle un peu plus contre toi. Tu le pousses violamment puis croises les jambes. Tu sais qu'il ne va rien dire, parce que Cooktown est une petite ville et que tout le monde sait qui tu es. Tu ne te prends pas pour une célébrité, mais presque. Certains te connaissent comme la petite peste que tu es, d'autres comme une allumeuse, d'autres disent que tout Cooky t'es passé dessus. Mais tu fais taire certaines des rumeurs, en en faisant apparaitre d'autres. Tu croises les bras sur ta poitrine et tu penses. Tu penses à toutes ces années passées, à la vie que tu aurais pu avoir si ton père était toujours vivant. Ton père. Tu as toujours espéré qu'il soit encore en vie, qu'il puisse être à tes côtés. Tu sais que s'il avait été là, tu n'aurais pas été ce que tu es aujourd'hui. Tu aurais été plus douce et attachante, tu aurais été vraiment toi. Celle que tu cache derrière de faux sourires ou des mesquineries. Tu te rapelles doucement de ton enfance et des questions que tu posais à ta mère à son sujet. Qui il avait été, ce qu'il avait fait de sa vie. Si il l'aimait. Et tu lui avais demandé bon nombres de fois pourquoi est-ce qu'il était mort, pourquoi est-ce qu'il vous avait laissés toutes les deux. Tu sais que ce n'était pas de sa faute, tu penses d'ailleurs que c'est de la tienne. Tu t'es toujours dis que tu ne regretterais jamais rien de ta vie, et voilà que la seule chose que tu regrettes c'est cette tragédie, tragédie que tu penses avoir été causée par toi. Ton portable vibre, tu le sens bouger contre ta cuisse droite. Le garçon à côté te regarde et tu lui lance un regard furtif, furtif mais qui suffit à éloigner son regard de ta cuisse. Tu aimes te sentir désirée, mais tu ne veux pas que lui te désire. Tu ne lui en donnes pas le droit. Tu prends ton téléphone et regarde qui t'apelles. Ta mère. Tu souris, car elle ne t'a pas donné de nouvelles depuis un certains temps. Tu ne lui en as pas donné non plus. Tu décroches. « Maman! Comment vas-tu?» Ta voix respire le bonheur, elle est ta seule famille. La seule qu'il te reste. « Honey, je.. je vais bien et toi?» Sa voix t'as manqué et tu te mets à sourire niaisement comme tu as l'habitude de faire depuis un certains temps. Comme si tu redevenais celle que tu étais vraiment. Cependant, tu remarques que sa voix est hésitante, ailleurs. « Qu'est-ce qu'il y a maman? Ne nie pas, j'arrive encore à savoir quand quelque chose te préoccupe. » Cela aussi te préoccupe. Plus que tu ne voudrais le laisser transparaitre. C'est ta mère et tu ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose, pas après ce qui est arriver à ton père. « Rien honey, rien..» Tu soupires avant de repousser une nouvelle fois le garçon à côté de toi qui tente d'écouter ta conversation. «Ecarte toi avant que je te brise le nez et t'émascules. Non bien sur que non maman, je ne parles pas à toi. Donc, ne me mens pas et dis moi. Oui, là c'est à toi que je parle.» Tu relèves la tête et vérifie bien que le roux tourne sa tête. C'est un roux déjà, et tu n'apprécies pas plus que ça les roux. Tu les trouves la plupart du temps moches et ils t'insupportent. T'horripilent même. Tu fermes les yeux et tente attentivement d'écouter ta mère. Elle te raconte qu'un service d'adoption vient de l'apeller. « Tu comptes adopter un enfant? Tu n'as pas eu assez de moi?» Tu es exaspérée. Tu ne veux pas d'un petit frère ou d'une petite soeur, parce que tu ne veux pas qu'il ou elle vive se que tu as vécue toi. « Laisse moi finir honey, tu veux? Je ne t'ai pas dit toute l'histoire. » Tu attends et commence à tapoter du pieds. Il te reste encore quelques minutes de bus avant d'arriver sur ton lieu de travail, alors tu espère qu'elle va se dépécher. Tu passes une main dans tes cheveux et tu l'écoutes attentivement, parce que justement c'est ce qu'elle t'a demandée. «Je ne sais pas vraiment comment te dire ça.. tu sais quand tu es née et que ton père est mort ce jour là, j'ai eu peur. Vraiment peur de ne pas pouvoir t'élever convenablement. Pourtant comme tu peux le voir, je t'ai bien élevée...» «Viens en aux faits.» Ta voix se veut sèche, parce que tu veux qu'elle finisse par te dire ce qu'elle a à dire, et qu'elle arrête de te parler de ton père. «Tu .. tu n'étais pas toute seule honey. Tu as eu une soeur jumelle chérie, et parce que je ne me sentais pas la force d'élever deux enfants, je l'ai donnée à l'adoption en te gardant toi.» Ton coeur s'emballe. Parce que tu es surprise et parce que tu ne sais pas quoi dire ou quoi faire. Alors tu décides de la laisser continuer. «L'adoption m'a appelée pour me mettre en contact avec la famille d'adoption de ta soeur, et celle-ci m'a annoncée qu'elle venait en Australie pour faire ta connaissance.» Tu fermes les yeux et vois enfin le bus s'arrêter devant le marineland. Tu annonces à ta mère que tu dois la laisser et raccroches. Tu veux encore entendre parler de cette histoire, mais ta raison te dis non tandis que ton coeur te dis oui. Cette histoire n'est pas terminée et tu le sais, tu sais qu'à tout les coins de rues maintenant, tu peux rencontrer quelqu'un qui te ressemble comme deux gouttes d'eaux. Tu espère que cette fille a le même caractère que toi, que c'est aussi une manipulatrice de talent et qu'elle ne se laissera pas marcher sur les pieds de ceux qui l'accosteront en pensant que c'est toi. Ta raison te dis de la retrouver et de l'écarter de ta vie, mais ton coeur a soudainement besoin d'elle. Tu fermes les yeux et chasse ces pensées de ta tête. Le paquet de poisson en main, tu jettes te dirige vers ton casier attitré et te changes, mettant une combinaison de plongée avec des gants pour éviter d'avoir tout contact avec l'eau. Tu mets d'ailleurs des chaussures exprès pour l'eau, afin de ne pas mouiller tes pieds et retrouver avec une queue de poisson. Tu aimes le risque, et le risque te fais aussi avancer. Tu te diriges vers les dauphins, Flipper et Tabaluga. Ils nagent vers toi lorsqu'ils sentent ta présence. Les animaux marins sont devenus plus proche de toi depuis que ta seconde nature est d'être une sirène, tu leur lance deux poissons à leur arriver puis te recule un peu avant de lever les mains et de leur faire faire des figures. Soudain tu sursautes, parce que quelqu'un ou quelque chose vient de se poser sur toi. Tu te retournes et ouvre lentement ta bouche sans savoir quoi dire. Lui. Ta première question serait de savoir ce qu'il fait là. Oui, dans tout les sens du terme. Il est partit sans te dire aurevoir quatre ans auparavant, il a été le seul avec Meghan, que tu ai réussie à considérer comme ton meilleur ami. Et voilà qu'il réapparait comme si rien de tout cela ne s'était produit. Tu te recules et sens que tes chaussures touchent légèrement l'eau. Tu as envie d'utiliser tes pouvoirs contre lui, et imperceptiblement, tu lèves ta main. Tu t'es entrainé le matin même avec Sara-Lynn et tu commences déjà à mieux gérer ton pouvoir. Un jet d'eau sort du bassin aux dauphins et vint le percuter de plein fouet avant de s'évaporer. « Qu'est-ce que tu fou encore là Oxburry?! Les dauphins ne viennent-ils pas de te faire comprendre que ta présence n'est pas désirée ici?» Tu essaies de rester calme, mais tu sais que cela n'est pas possible et que si Aaron, celui que tu as considérer comme ton meilleur ami, reste là, tu risques de l'envoyer nager avec Flipper et Tabaluga. Et tu sais bien aussi que si tu leurs demande d'être méchant avec lui, ils le seront. what hurst the most, was beeing so close and watching you walk away


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