• Avez-vous des rêves ou des espoirs pour le futur ? Des envies ? Hum... Bien, déjà devenir champion du monde de surf. Après, peut être quitter mon petit boulot de barman pour autre chose, je ne sais pas encore quoi. Fonder une famille m'effraye un peu, je l'avoue mais on verra ça plus tard, hein ! Surement voyager et retourner sur les terres de mon enfances.
• Dans la vie, on a des hauts et des bas. Si vous deviez nous raconter le souvenir le plus heureux de votre vie, lequel serait-il ? le plus heureux ? Bonne question. Je crois que c'était quand j'avais 15 ans. On habitait toujours en Écosse et j'étais allé surfé avec des amis. Ce jour-là, on avait eu la chance de pouvoir nager avec des dauphins et j'en ai gardé un merveilleux souvenir.
• Si vous aviez l'opportunité de remonter le temps, quel événement de votre vie changeriez vous ? Il y aurait tant que chose que je changerai...Surement la mort de ma soeur et celle de mon beau-père.

• Vivant dans une petite ville côtière, aimez-vous vous aller nager ou profiter des plages de Cooktown ? Les deux. L'océan et la plage sont les endroit que je préfère à Cooktown. Bon, faire la bronzette sur la plage n'est pas vraiment mon truc, mais une bonne partie de volley sur le sable ne me dérange pas !
• Avez-vous déjà assisté à un phénomène étrange ou surnaturel ? Oui et j'en ai été marquer à vie. J'avais douze ans et avec ma soeur du même âge, nous étions partis nager la nuit, pendant la pleine lune. Nous nagions tranquillement quand tout à coup, un énorme poisson apparut. Pris de panique nous décidèrent rentrait plutôt que de rester là. Mais ma soeur crue voire autre chose qu'un gros poisson et elle décida d'aller voir par elle-même. Quand je suis allé la chercher à la nage, j'ai moi aussi vu autre chose... j'ai vu... une sirène. Non non, je ne suis pas fou ! Le pire, c'est que cette horrible créature à attraper ma soeur par la jambe et l'a attiré dans les fonds marins... Elle l'a noyé et j'ai perdu ma soeur ce jour-là.

L’histoire a commencé de la façon la plus banale qui soit : une naissance. Il régnait une chaleur étouffante et mordante, quand des cris percèrent la quiétude de la nuit. À Paris, le 29 août 1992, vers 23 heures, une mère venait de mettre au monde ses uniques enfants, des faux jumeaux : Hoël et Aïcha. Leur vie ne fut pas rocambolesque dès le début. Il faut dire aussi qu'elle s'est retrouvée sacrément écourtée pour Aïcha. Néanmoins, même s'ils n’avaient aucune place dans l'Histoire, leur famille, elle, en avait une immense. Leur mère s'appelait Marianna Octavin et était Écossaise, duchesse de Glasgow. Mais des deux, c’est le garçon qui nous intéresse. Son arrière-grand-père paternel s'appelait Hoël, il fut donc décidé qu’il s’appellerait comme cet ancêtre. Pour autre prénom, il se trouve qu’il eut pour parrain l’oncle arriérer de sa mère, Karlis, en français « Karl». Ainsi naquit Hoël Karl Octavin, Pewbeïzon.

Sa mère, comme souligné, faisait partie très de la haute noblesse britannique qui avait épousé, a seize ans, son Français de père : Grégoire Pewbeïzon. Hoël grandit à Paris jusqu’à ses 6 ans puis il alla habité en Ecosse. Il eut l'enfance la plus heureuse du monde. Ses parents donnaient tout leur amour, ainsi qu'une excellente éducation : langues vivantes et mortes, arts de la danse, du chant et de l'escrime, histoire, théologie. En somme, élevé à l'égal des princes et princesses. Pourtant, il savait bien que le monde existait en dehors de ce cercle fermé. Ses douze années d'existence passèrent dans le bonheur le plus total. Avec une famille unie et aimante, un pays qu’il aimait profondément, de merveilleux voyages à l'étranger... Une vie des plus parfaites. Et puis Aïcha et lui eurent douze ans. Rien a priori, n'aurait pu prévoir que la vie si douce de sa sœur allait brusquement lui être arraché. Alors qu’ils profitaient de la pleine lune pour aller se baigner la nuit, Hoël et sa sœur assistèrent à un phénomène des plus étranges. Un énorme poisson (qui était en réalité une sirène devenue folle à cause de la pleine lune qui de plus en voulait à Aïcha car elle connaissait son secret et avait menacé de le révéler plus d'une fois au collège.) apparut et noya Aïcha laissant de peu la vie sauve à Hoël. Celui-ci, raconta qu’elle s’était simplement noyée, de peur qu’on l’envoie à l’asile.

Après cette funeste nuit, la vie d’Hoël s’attrista. Son père s'en alla avec une autre et sa mère tomba amoureuse d’un horrible homme qui devint par malheur le beau-père d’Hoël. Quand il eut seize ans, il eu beaucoup de problème avec son beau-père et de cela, il c’était réfugié dans l’alcool.[b] Sa mère, encore bien vaillante, le plaça en centre durant deux ans mais dit à son entourage que son fils était en voyage pour ses études.

Les deux ans passées, Hoël ne réussit pas à retrouver une vie normale. Il décida donc de s'éloigner de sa famille et de sa vie en Ecosse pour refaire sa vie. Il emmena le strict nécessaire et quand il tourna la clé de sa comète, sa nouvelle vie commença.La ville de Cooktown en Australie fut son refuge. Là-bas, il se fit engager comme barman dans un petit bar en centre-ville et continua cœur et âme le surf pour oublier ses soucis ; il se mit en tête de devenir le meilleur.

Jamais il n’oublia ce qu’il avait vu le jour où sa sœur mourut. Il se fit même le serrement de retrouver cette créature et de lui faire la peau. Contrairement aux autres personnes qui sont dans le secret pour les sirènes, lui a envie de les tués plus qu’autre chose. Il pense que ce sont des créatures tueuses avec un inimaginable sang-froid. A-t-il tord ?